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Veille sur l'information scientifique et technique //science2.0 #SO #DH #TDM #TEI #OA #IST BARTS Nicolas, information science PhD ; ingénieur de recherche IST
Greater awareness of the existence of open access information resources for innovation and making the information easily accessible and relevant to developing country users could help spur innovation in these countries, according to top technical assistance providers and local innovators. ...
Researchers and innovators in developed countries seeking authoritative information on how to solve a particular technical problem or develop a new product generally turn either to scientific journals or patent information. ...
Gakuru Muchemi, a senior lecturer at the Department of Electrical and Information Engineering of the University of Nairobi School of Engineering, noted in an interview that "the use of patent disclosure information either as a research tool or teaching aid in our institutions of learning and research still remains unused or underutilised."
Muchemi, who has developed a Swahili text-to-speech system, attributed this to general unawareness that certain patent databases can be accessed online free of charge. "Where there is awareness of the potential of patent information, there is a general misconception that they are all provided on a commercial basis which discourages researchers and students from seeking them out," he added. ...
All of the young innovators interviewed by Intellectual Property Watch were not aware of the existence of open access patent databases that could be used to draw information to either develop new products or improve on their innovations.
Both the IOI and WIPO indicated very modest use of their patent information from Africa by reviewing African internet protocol addresses accessing the databases.
Muchemi, the professor from University of Nairobi, said awareness may increase usage. [The Initiative for Open Innovation] has carried out a number of outreach programmes in Africa and also hopes to forge partnerships with African research think-tanks drawn from various African countries ...
According to [the World Intellectual Property Organization's William] Meredith, the WIPO Patentscope [an OA patent database] team's publicity efforts are largely centred on "increasing its internet presence" and more participation in workshops, conferences and exhibitions. They have an initiative specifically targeting universities, he said. ...
Greater awareness of the existence of open access information resources for innovation and making the information easily accessible and relevant to developing country users could help spur innovation in these countries, according to top technical assistance providers and local innovators. ...
Researchers and innovators in developed countries seeking authoritative information on how to solve a particular technical problem or develop a new product generally turn either to scientific journals or patent information. ...
Gakuru Muchemi, a senior lecturer at the Department of Electrical and Information Engineering of the University of Nairobi School of Engineering, noted in an interview that "the use of patent disclosure information either as a research tool or teaching aid in our institutions of learning and research still remains unused or underutilised."
Muchemi, who has developed a Swahili text-to-speech system, attributed this to general unawareness that certain patent databases can be accessed online free of charge. "Where there is awareness of the potential of patent information, there is a general misconception that they are all provided on a commercial basis which discourages researchers and students from seeking them out," he added. ...
All of the young innovators interviewed by Intellectual Property Watch were not aware of the existence of open access patent databases that could be used to draw information to either develop new products or improve on their innovations.
Both the IOI and WIPO indicated very modest use of their patent information from Africa by reviewing African internet protocol addresses accessing the databases.
Muchemi, the professor from University of Nairobi, said awareness may increase usage. [The Initiative for Open Innovation] has carried out a number of outreach programmes in Africa and also hopes to forge partnerships with African research think-tanks drawn from various African countries ...
According to [the World Intellectual Property Organization's William] Meredith, the WIPO Patentscope [an OA patent database] team's publicity efforts are largely centred on "increasing its internet presence" and more participation in workshops, conferences and exhibitions. They have an initiative specifically targeting universities, he said. ...
En France, un partenariat entre le CNRS, le TGE Adonis et Sciences-Po, via le Medialab, finance une étude de faisabilité sur la mise en place d'une base de données qualitatives en sciences sociales.
Dans un rapport paru récemment, il est dit: "Il s'agit ici d'anticiper les conditions de mise sur pied et de développement d'une infrastructure visant à inventorier, archiver, et rendre accessible à la communauté des chercheurs en sciences sociales – et exclusivement à cette dernière – des données d'enquête qualitatives."
Ce sont les auteurs qui soulignent. J'imagine que ce genre d'outils doit exister ailleurs, dans d'autres pays, notamment anglo-saxons (assortis des mêmes conditions contraignantes?). Dommage pour le libre accès aux données de la recherche.
(source: EchosDoc, 12/10/09)
En France, un partenariat entre le CNRS, le TGE Adonis et Sciences-Po, via le Medialab, finance une étude de faisabilité sur la mise en place d'une base de données qualitatives en sciences sociales.
Dans un rapport paru récemment, il est dit: "Il s'agit ici d'anticiper les conditions de mise sur pied et de développement d'une infrastructure visant à inventorier, archiver, et rendre accessible à la communauté des chercheurs en sciences sociales – et exclusivement à cette dernière – des données d'enquête qualitatives."
Ce sont les auteurs qui soulignent. J'imagine que ce genre d'outils doit exister ailleurs, dans d'autres pays, notamment anglo-saxons (assortis des mêmes conditions contraignantes?). Dommage pour le libre accès aux données de la recherche.
(source: EchosDoc, 12/10/09)
Rang 2009 | Université | pays |
---|---|---|
1 | Harvard University | Etats-Unis |
2 | Université de Cambridge | Royaume-Uni |
3 | Yale University | Etats-Unis |
4 | University College London | Royaume-Uni |
5 | Imperial College London | Royaume-Uni |
5 | Université d'Oxford | Royaume-Uni |
7 | Université de Chicago | Etats-Unis |
8 | Université Princeton ... |
Rang 2009 | Université | pays |
---|---|---|
1 | Harvard University | Etats-Unis |
2 | Université de Cambridge | Royaume-Uni |
3 | Yale University | Etats-Unis |
4 | University College London | Royaume-Uni |
5 | Imperial College London | Royaume-Uni |
5 | Université d'Oxford | Royaume-Uni |
7 | Université de Chicago | Etats-Unis |
8 | Université Princeton ... |
Depuis plus de 20 ans, la Grande-Bretagne avait mis en oeuvre un système d'évaluation systématique et centralisé de la recherche universitaire, le Research Assessment Exercise (RAE). Il ne s'agissait pas d'une agence comme aujourd'hui l'AERES en France, mais de l'organisation tous les quatre à six ans d'une grande campagne d'évaluation de tous les départements de recherche des universités. Le RAE était mis en place, de façon très « professionnelle », par les financeurs publics (funding bodies)[1] dont les crédits de recherche aux universités étaient ensuite calculés sur la base des résultats du RAE. Ces résultats servaient aussi aux universités à déterminer leur politique. L'évaluation était faite de façon classique et indépendante par des comités d'experts sur le mode de la peer review[2]. Mais cet exercice s'avérait extrêmement lourd, aussi bien pour ceux qui le faisaient que pour les universités qui le subissaient, avec des conséquences limitées en matière de financement de la recherche… Lire la suite
Source : La Grande-Bretagne réévalue sa réforme de l'évaluation / J.-F. Méla, JFM's Blog, billet posté le 6 octobre 2009.
Lire aussi la réaction de Pierre Dubois sur l'Évaluation à l'anglaise, un billet posté le 14 octobre 2009.
Depuis plus de 20 ans, la Grande-Bretagne avait mis en oeuvre un système d'évaluation systématique et centralisé de la recherche universitaire, le Research Assessment Exercise (RAE). Il ne s'agissait pas d'une agence comme aujourd'hui l'AERES en France, mais de l'organisation tous les quatre à six ans d'une grande campagne d'évaluation de tous les départements de recherche des universités. Le RAE était mis en place, de façon très « professionnelle », par les financeurs publics (funding bodies)[1] dont les crédits de recherche aux universités étaient ensuite calculés sur la base des résultats du RAE. Ces résultats servaient aussi aux universités à déterminer leur politique. L'évaluation était faite de façon classique et indépendante par des comités d'experts sur le mode de la peer review[2]. Mais cet exercice s'avérait extrêmement lourd, aussi bien pour ceux qui le faisaient que pour les universités qui le subissaient, avec des conséquences limitées en matière de financement de la recherche… Lire la suite
Source : La Grande-Bretagne réévalue sa réforme de l'évaluation / J.-F. Méla, JFM's Blog, billet posté le 6 octobre 2009.
Lire aussi la réaction de Pierre Dubois sur l'Évaluation à l'anglaise, un billet posté le 14 octobre 2009.
Trouvée par hasard sur le site Biblio.SHS de l'Inist (CNRS): une formation en ligne au nouvel outil de Thomson Reuters: Incites ; formation également proposée par un laboratoire de l'INSERM.
Un Pdf propose une présentation en français de l'outil Incites: "une source pratique qui fournit une évaluation de recherche personnalisée basée sur les citations sur le Web".
Selon ce dépliant, cette information est à destination d'un large public, puisqu'elle est susceptible d'intéresser aussi bien le chercheur isolé que les décideurs politiques.
En voici un extrait:
L'offre
• Une interface Web intuitive
• des mesures basées sur des données Web of Science® objectives et respectées
• des données de référence et d'analyse standard
• des mesures et ensembles de données spécifiques au client
• fonctionnalité de rapports, récapitulation et visualisation des liens vers des archives Web of Science
• Exportation de données et de graphiques
• Création de fichiers pdF
Les possibilités
• Surveiller les résultats et l'impact d'une recherche institutionnelle
• Comparer des performances de recherche par rapport à d'autres institutions et des points de repère dans le monde et sur le terrain
• Cibler des chercheurs influents et émergeants, des services et des tendances de recherche
• définir des objectifs mesurables ; allouer des fonds avec précision et intelligence
• Surveiller des activités de collaboration et suivre de nouvelles opportunités de collaboration
• prendre en charge une activité d'accréditation, des propositions de financement, des agendas législatifs, des appels d'anciens membres, ainsi que le recrutement d'étudiants et des universités
• planifier une stratégie de recherche à l'aide de mesures pouvant être suivies dans le temps
En bref, un outil clé en main qui évite de se poser les questions préalables aux usages des nombres… De leur côté, l'OST est engagé dans un travail d'élaboration d'instruments à l'usage des établissements d'enseignement supérieur (données quantitatives sur leur production scientifique) et le TGE Adonis pilote une étude sur la faisabilité d'une banque de données qualitatives en sciences sociales. Les Canadiens de Science-Metrix ont quant à eux publié un rapport sur les usages de la bibliométrie en sciences humaines et sociales dès 2004.
Il est à noter qu'il s'agit à chaque fois d'agences ou de structures qui n'émanent pas directement du monde académique et qui proposent donc une lecture externe de la question de l'évaluation.
Trouvée par hasard sur le site Biblio.SHS de l'Inist (CNRS): une formation en ligne au nouvel outil de Thomson Reuters: Incites ; formation également proposée par un laboratoire de l'INSERM.
Un Pdf propose une présentation en français de l'outil Incites: "une source pratique qui fournit une évaluation de recherche personnalisée basée sur les citations sur le Web".
Selon ce dépliant, cette information est à destination d'un large public, puisqu'elle est susceptible d'intéresser aussi bien le chercheur isolé que les décideurs politiques.
En voici un extrait:
L'offre
• Une interface Web intuitive
• des mesures basées sur des données Web of Science® objectives et respectées
• des données de référence et d'analyse standard
• des mesures et ensembles de données spécifiques au client
• fonctionnalité de rapports, récapitulation et visualisation des liens vers des archives Web of Science
• Exportation de données et de graphiques
• Création de fichiers pdF
Les possibilités
• Surveiller les résultats et l'impact d'une recherche institutionnelle
• Comparer des performances de recherche par rapport à d'autres institutions et des points de repère dans le monde et sur le terrain
• Cibler des chercheurs influents et émergeants, des services et des tendances de recherche
• définir des objectifs mesurables ; allouer des fonds avec précision et intelligence
• Surveiller des activités de collaboration et suivre de nouvelles opportunités de collaboration
• prendre en charge une activité d'accréditation, des propositions de financement, des agendas législatifs, des appels d'anciens membres, ainsi que le recrutement d'étudiants et des universités
• planifier une stratégie de recherche à l'aide de mesures pouvant être suivies dans le temps
En bref, un outil clé en main qui évite de se poser les questions préalables aux usages des nombres… De leur côté, l'OST est engagé dans un travail d'élaboration d'instruments à l'usage des établissements d'enseignement supérieur (données quantitatives sur leur production scientifique) et le TGE Adonis pilote une étude sur la faisabilité d'une banque de données qualitatives en sciences sociales. Les Canadiens de Science-Metrix ont quant à eux publié un rapport sur les usages de la bibliométrie en sciences humaines et sociales dès 2004.
Il est à noter qu'il s'agit à chaque fois d'agences ou de structures qui n'émanent pas directement du monde académique et qui proposent donc une lecture externe de la question de l'évaluation.
Cet ouvrage, nouvelle acquisition à la bibliothèque de recherche de Spirit (Cote 378 FIX), part d'un travail d'audit du Comité national de la recherche scientifique et tente de résoudre les problèmes inhérents à l'évaluation de la recherche : comment articuler évaluation des chercheurs, évaluation des équipes et stratégie d'établissement ?
Cet ouvrage, nouvelle acquisition à la bibliothèque de recherche de Spirit (Cote 378 FIX), part d'un travail d'audit du Comité national de la recherche scientifique et tente de résoudre les problèmes inhérents à l'évaluation de la recherche : comment articuler évaluation des chercheurs, évaluation des équipes et stratégie d'établissement ?