mercredi 23 décembre 2009

Texte amendé

 
 

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via Marseille, science, innovation et société de Jacques Boulesteix le 23/12/09

J'avais écrit hier que le texte des principes fondateurs de l'Université unique d'Aix-Marseille n'avait pas fait l'objet d'amendements. C'est partiellement inexact. Si aucun amendement n'a été introduit en séance, un texte légèrement amendé avait été envoyé la veille du vote aux (seuls ?) élus des Conseils d'Administration.

En fait, en dehors de la suppression significative de la référence au "modèle entrepreneurial", le texte a été modifié à la marge, comme on peut le voir sur cette nouvelle version où les modifications sont indiquées en rouge. Ces amendements n'ont fait l'objet d'aucun débat en dehors des conseils.


 
 

Ce que vous pouvez faire à partir de cette page :

 
 

Texte amendé

 
 

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via Marseille, science, innovation et société de Jacques Boulesteix le 23/12/09

J'avais écrit hier que le texte des principes fondateurs de l'Université unique d'Aix-Marseille n'avait pas fait l'objet d'amendements. C'est partiellement inexact. Si aucun amendement n'a été introduit en séance, un texte légèrement amendé avait été envoyé la veille du vote aux (seuls ?) élus des Conseils d'Administration.

En fait, en dehors de la suppression significative de la référence au "modèle entrepreneurial", le texte a été modifié à la marge, comme on peut le voir sur cette nouvelle version où les modifications sont indiquées en rouge. Ces amendements n'ont fait l'objet d'aucun débat en dehors des conseils.


 
 

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Bibliométrie (23/12/09)

 
 

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via pintiniblog de Fabrizio Tinti le 23/12/09


Petite sélection d'actualités et/ou de ressources sur la bibliométrie, la scientométrie, les citations et les problématiques connexes. Voici la livraison du 23 décembre 2009:

> Maps on the basis of the Arts & Humanities Citation Index: The journals Leonardo and Art Journal versus "Digital Humanities" as a topic
(source: arXiv, 17/12/09)

> The SJR indicator: A new indicator of journals' scientific prestige
(source: arXiv, 22/12/09)

> A Closer Look at the Sources of Informetric Research
(source: Cybermetrics, vol. 13, n° 1)

> The 5-year synchronous impact factor for large Journal Citation Reports (JCR) subject areas
(source: Cybermetrics, vol. 13, n° 1)


 
 

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Bibliométrie (23/12/09)

 
 

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Petite sélection d'actualités et/ou de ressources sur la bibliométrie, la scientométrie, les citations et les problématiques connexes. Voici la livraison du 23 décembre 2009:

> Maps on the basis of the Arts & Humanities Citation Index: The journals Leonardo and Art Journal versus "Digital Humanities" as a topic
(source: arXiv, 17/12/09)

> The SJR indicator: A new indicator of journals' scientific prestige
(source: arXiv, 22/12/09)

> A Closer Look at the Sources of Informetric Research
(source: Cybermetrics, vol. 13, n° 1)

> The 5-year synchronous impact factor for large Journal Citation Reports (JCR) subject areas
(source: Cybermetrics, vol. 13, n° 1)


 
 

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L’Université (unique) d’Aix-Marseille est-elle bien partie ?

 
 

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via Marseille, science, innovation et société de Jacques Boulesteix le 22/12/09

universiteaix250708.1261476291.jpg C'est donc maintenant acquis. Les conseils d'administration de chacune des 3 universités se partageant le paysage universitaire d'Aix et de Marseille, ont voté vendredi dernier la fusion pour le 1er janvier 2012. Ils ont également approuvé un texte intitulé "Principes fondateurs d'une université unique", rédigé par les Présidents des Universités dans le but de réaliser la fusion. Ce "socle de principes généraux", assez détaillé puisqu'il pèse 52 pages, a été contesté jusqu'au bout par une minorité significative et n'a pas fait l'objet d'amendements.

Le vote est assez différent selon les universités. De justesse à l'Université de Provence UI (16 contre 13),  massif à l'Université de la Méditerranée UII (25 contre 5) et écrasant à l'Université Paul Cézanne UIII (24 contre 1 avec 3 abstentions). Ceux qui se sont opposés affirment qu'il ne sont pas contre la fusion, mais contre la base sur laquelle elle s'opère et qu'ils ne peuvent accepter le libellé de certains principes fondateurs.

Sur quoi porte donc la polémique ?

D'abord, l'une des ambitions de l'université unique est, selon le texte fondateur (page 5) de "passer d'un modèle organisationnel traditionnel à un modèle entrepreneurial". Voilà qui fâche. L'université doit elle être une entreprise? doit-elle avoir le modèle de gestion d'une entreprise ? Pour le moins, dans le contexte controversé du libéralisme actuel, le texte est maladroit, voire provocateur.

En second lieu, juste après avoir indiqué logiquement le besoin "d'améliorer la visibilité et la lisibilité de la recherche du site en affichant ses domaines d'excellence", l'affirmation selon laquelle "le nombre de pôles d'excellence doit être restreint" (page 14). L'un induit-il l'autre ? Afficher ses forces, sans doute, mais limiter les pôles d'excellence, n'est-ce pas un pas vers l'élitisme, une université thématiquement à deux vitesses, indépendamment de la qualité des ses enseignants ou de ses chercheurs ? Quel avenir pour les "petites" disciplines ?

Autre sujet de discorde, la création de nouveaux enseignements. Le texte fondateur avance d'une manière un peu provocatrice la nécessité "d'une étude de marché
précise"
pour les diplômes en création (page 20). En soi, pourquoi pas, si la fonction d'enseignements généraux et transversaux reste centrale et s'il ne s'agit que de valider certains contenus plus professionnels? Mais les opposants font remarquer que la tendance est autre et que l'on est en train d'instaurer une prédominance "utilitariste" de l'enseignement universitaire. Ceci aurait mérité débat.

Enfin, page 45, "Face à ces sollicitations, les universités sont amenées à se positionner du côté de l'offre, mettre en valeur leurs spécificités, montrer en quoi elles sont meilleures que d'autres, en bref agir dans un contexte concurrentiel et se comporter en tant qu'acteur économique à part entière". C'est ce qui prouve, aux yeux des opposants, qu'il ne s'agit pas d'une simple fusion, mais d'un changement majeur de l'esprit universitaire.

Un débat interne avorté et des votes peu lisibles

Le débat interne a été réduit. Le texte des principes fondateurs n'a été connu que 2 semaines avant le vote. Je n'ai pas eu connaissance d'assemblées officiellement organisées pour recueillir l'avis des enseignants et étudiants concernés. Le jeu des conseils statutaires a été privilégié et la question mise en avant par les Présidents d'université a été avant tout celle de la fusion. Pourtant, si le principe de la fusion est aujourd'hui très largement admis dans les trois universités, les missions et les modalités de gestion de la future université le sont moins. Les opposants ont rassemblé leurs griefs dans un texte qualifié de "éthique". Cela n'a pas suffit à engager une concertation pourtant indispensable au succès même de la nouvelle université.

Visiblement, le choix a été de faire passer, le plus rapidement possible, dans un paquet unique, la fusion et ses modalités. Il est dit, dans l'entourage des Présidents, qu'il y aurait urgence, afin que la fusion soit effective au 1er janvier 2012. Mais, ce qu'il apparaît aussi, du côté des opposants, c'est que les modalités, contestables, de la fusion ont été imposées et que rien n'obligeait à proposer des principes qui aillent aussi loin dans l'approbation de la politique gouvernementale vers une université jugée utilitariste, autoritaire, élitiste, tournant lentement le dos au concept-même de service public.

On peut également constater que le vote des conseils n'a été possible que par la division des opposants à la politique de Valérie Pécresse. Pour les uns, il convenait d'assurer l'avenir universitaire en fusionnant, qu'elles que soient les modalités de cette fusion. Pour les autres, un mauvais texte ne pouvait amener à une bonne fusion. C'est ainsi que l'on a vu des partis de gauche ou des syndicats mettant en avant avec vigueur des principes de service public assez contradictoires avec le texte même de la fusion, et, dans le même temps, leurs représentants apporter eux-mêmes dans les conseils les voix décisives nécessaires à l'approbation. Ainsi, Pécresse ou non, les voix des élus de gauche et de droite se sont mêlées dans l'approbation et quelque part, on a aussi retrouvé les divisions nées du blocage des universités il y a quelques mois.

Une évolution à l'européenne ?

Le danger, dans cette situation, c'est qu'une fois la fusion entérinée, on fasse peu de cas des arguments avancés par les opposants. C'est la méthode du "rouleau compresseur" sur laquelle fonctionne l'Europe depuis 30 ans. Peu importent les réticences, la machine doit toujours aller plus loin, plus fort, suivant une idéologie qui est loin d'être partagée par tous. Pas plus que pour l'Europe, ce modèle n'est adapté à l'université.

On aurait pu rêver d'une université d'Aix-Marseille unique exemplaire dans le débat interne, cherchant le consensus le plus large, s'appuyant sur une appropriation très large de ses enseignants et de ses étudiants. Mais les remarques des opposants ont été balayés d'un revers de main et le dialogue avec les syndicats les plus représentatifs, qui souhaitaient un autre texte, n'a pas eu lieu. La fusion a été empaquetée avec un texte critiquable et peu consensuel. Souhaitons que cette université unique soit néanmoins mieux partie qu'elle en a l'air…


 
 

Ce que vous pouvez faire à partir de cette page :

 
 

L’Université (unique) d’Aix-Marseille est-elle bien partie ?

 
 

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universiteaix250708.1261476291.jpg C'est donc maintenant acquis. Les conseils d'administration de chacune des 3 universités se partageant le paysage universitaire d'Aix et de Marseille, ont voté vendredi dernier la fusion pour le 1er janvier 2012. Ils ont également approuvé un texte intitulé "Principes fondateurs d'une université unique", rédigé par les Présidents des Universités dans le but de réaliser la fusion. Ce "socle de principes généraux", assez détaillé puisqu'il pèse 52 pages, a été contesté jusqu'au bout par une minorité significative et n'a pas fait l'objet d'amendements.

Le vote est assez différent selon les universités. De justesse à l'Université de Provence UI (16 contre 13),  massif à l'Université de la Méditerranée UII (25 contre 5) et écrasant à l'Université Paul Cézanne UIII (24 contre 1 avec 3 abstentions). Ceux qui se sont opposés affirment qu'il ne sont pas contre la fusion, mais contre la base sur laquelle elle s'opère et qu'ils ne peuvent accepter le libellé de certains principes fondateurs.

Sur quoi porte donc la polémique ?

D'abord, l'une des ambitions de l'université unique est, selon le texte fondateur (page 5) de "passer d'un modèle organisationnel traditionnel à un modèle entrepreneurial". Voilà qui fâche. L'université doit elle être une entreprise? doit-elle avoir le modèle de gestion d'une entreprise ? Pour le moins, dans le contexte controversé du libéralisme actuel, le texte est maladroit, voire provocateur.

En second lieu, juste après avoir indiqué logiquement le besoin "d'améliorer la visibilité et la lisibilité de la recherche du site en affichant ses domaines d'excellence", l'affirmation selon laquelle "le nombre de pôles d'excellence doit être restreint" (page 14). L'un induit-il l'autre ? Afficher ses forces, sans doute, mais limiter les pôles d'excellence, n'est-ce pas un pas vers l'élitisme, une université thématiquement à deux vitesses, indépendamment de la qualité des ses enseignants ou de ses chercheurs ? Quel avenir pour les "petites" disciplines ?

Autre sujet de discorde, la création de nouveaux enseignements. Le texte fondateur avance d'une manière un peu provocatrice la nécessité "d'une étude de marché
précise"
pour les diplômes en création (page 20). En soi, pourquoi pas, si la fonction d'enseignements généraux et transversaux reste centrale et s'il ne s'agit que de valider certains contenus plus professionnels? Mais les opposants font remarquer que la tendance est autre et que l'on est en train d'instaurer une prédominance "utilitariste" de l'enseignement universitaire. Ceci aurait mérité débat.

Enfin, page 45, "Face à ces sollicitations, les universités sont amenées à se positionner du côté de l'offre, mettre en valeur leurs spécificités, montrer en quoi elles sont meilleures que d'autres, en bref agir dans un contexte concurrentiel et se comporter en tant qu'acteur économique à part entière". C'est ce qui prouve, aux yeux des opposants, qu'il ne s'agit pas d'une simple fusion, mais d'un changement majeur de l'esprit universitaire.

Un débat interne avorté et des votes peu lisibles

Le débat interne a été réduit. Le texte des principes fondateurs n'a été connu que 2 semaines avant le vote. Je n'ai pas eu connaissance d'assemblées officiellement organisées pour recueillir l'avis des enseignants et étudiants concernés. Le jeu des conseils statutaires a été privilégié et la question mise en avant par les Présidents d'université a été avant tout celle de la fusion. Pourtant, si le principe de la fusion est aujourd'hui très largement admis dans les trois universités, les missions et les modalités de gestion de la future université le sont moins. Les opposants ont rassemblé leurs griefs dans un texte qualifié de "éthique". Cela n'a pas suffit à engager une concertation pourtant indispensable au succès même de la nouvelle université.

Visiblement, le choix a été de faire passer, le plus rapidement possible, dans un paquet unique, la fusion et ses modalités. Il est dit, dans l'entourage des Présidents, qu'il y aurait urgence, afin que la fusion soit effective au 1er janvier 2012. Mais, ce qu'il apparaît aussi, du côté des opposants, c'est que les modalités, contestables, de la fusion ont été imposées et que rien n'obligeait à proposer des principes qui aillent aussi loin dans l'approbation de la politique gouvernementale vers une université jugée utilitariste, autoritaire, élitiste, tournant lentement le dos au concept-même de service public.

On peut également constater que le vote des conseils n'a été possible que par la division des opposants à la politique de Valérie Pécresse. Pour les uns, il convenait d'assurer l'avenir universitaire en fusionnant, qu'elles que soient les modalités de cette fusion. Pour les autres, un mauvais texte ne pouvait amener à une bonne fusion. C'est ainsi que l'on a vu des partis de gauche ou des syndicats mettant en avant avec vigueur des principes de service public assez contradictoires avec le texte même de la fusion, et, dans le même temps, leurs représentants apporter eux-mêmes dans les conseils les voix décisives nécessaires à l'approbation. Ainsi, Pécresse ou non, les voix des élus de gauche et de droite se sont mêlées dans l'approbation et quelque part, on a aussi retrouvé les divisions nées du blocage des universités il y a quelques mois.

Une évolution à l'européenne ?

Le danger, dans cette situation, c'est qu'une fois la fusion entérinée, on fasse peu de cas des arguments avancés par les opposants. C'est la méthode du "rouleau compresseur" sur laquelle fonctionne l'Europe depuis 30 ans. Peu importent les réticences, la machine doit toujours aller plus loin, plus fort, suivant une idéologie qui est loin d'être partagée par tous. Pas plus que pour l'Europe, ce modèle n'est adapté à l'université.

On aurait pu rêver d'une université d'Aix-Marseille unique exemplaire dans le débat interne, cherchant le consensus le plus large, s'appuyant sur une appropriation très large de ses enseignants et de ses étudiants. Mais les remarques des opposants ont été balayés d'un revers de main et le dialogue avec les syndicats les plus représentatifs, qui souhaitaient un autre texte, n'a pas eu lieu. La fusion a été empaquetée avec un texte critiquable et peu consensuel. Souhaitons que cette université unique soit néanmoins mieux partie qu'elle en a l'air…


 
 

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Publicité et CNRS

 
 

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via Vous avez dit exact ? de prologue le 20/12/09

 

Le journal "Le Monde" du 15 décembre 2009 présente, sur un quart de page, une publicité du centre national de la recherche scientifique (CNRS)

En 2010 le CNRS recrute 400 chercheurs(f/h) dans tous les domaines de la recherche.Clôture des inscriptions: 5 janvier 2010

Quand on connaît ce que représente la préparation du dossier et l'importance effective des liens du candidat avec un ou des laboratoires, on se demande qui peut après la lecture de cette publicité établir un dossier sérieux avant la date limite, en dehors du candidat déjà engagé pour lequel il ne s'agit que d'un rappel de la date limite.

Comment ne pas avoir l'impression qu'il ne s'agit pas d'ouvrir le concours mais de donner au public général l'illusion d'une ouverture ?

  


 
 

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Le journal "Le Monde" du 15 décembre 2009 présente, sur un quart de page, une publicité du centre national de la recherche scientifique (CNRS)

En 2010 le CNRS recrute 400 chercheurs(f/h) dans tous les domaines de la recherche.Clôture des inscriptions: 5 janvier 2010

Quand on connaît ce que représente la préparation du dossier et l'importance effective des liens du candidat avec un ou des laboratoires, on se demande qui peut après la lecture de cette publicité établir un dossier sérieux avant la date limite, en dehors du candidat déjà engagé pour lequel il ne s'agit que d'un rappel de la date limite.

Comment ne pas avoir l'impression qu'il ne s'agit pas d'ouvrir le concours mais de donner au public général l'illusion d'une ouverture ?

  


 
 

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mardi 22 décembre 2009

Le point sur les indicateurs de la recherche

 
 

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Un dossier très complet sur les indicateurs de la recherche dans le dernier numéro de l'année 2009 de la revue Documentaliste – Sciences de l'information (novembre 2009, volume 46, numéro 4)

"La question de l'évaluation et des indicateurs de la recherche est devenue un sujet sensible, cristallisant l'attention du monde académique et des politiques. La revue Documentaliste-SI se penche sur le rôle déterminant que jouent les professionnels de l'information et documentation dans la production d'indicateurs et autres outils d'évaluation. Michèle Dassa (CNRS-INSHS) a coordonné ce dossier qui propose un état des réflexions actuelles sur la production et les usages des indicateurs de la recherche dans les organismes publics et privés. Des articles de fond de spécialistes de la question présentent les politiques d'évaluation, les institutions concernées, les outils disponibles (bibliométriques et autres). De nombreux retours d'expérience de professionnels de l'I-D illustrent ces propos, soulignant la variété et l'importance de leurs contributions à l'évaluation de la recherche."

Le sommaire détaillé et la présentation des articles peuvent être librement consultés sur le site de l'ADBS. L'accès au texte intégral des articles y est réservé pendant deux ans aux abonnés.


 
 

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Le point sur les indicateurs de la recherche

 
 

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Un dossier très complet sur les indicateurs de la recherche dans le dernier numéro de l'année 2009 de la revue Documentaliste – Sciences de l'information (novembre 2009, volume 46, numéro 4)

"La question de l'évaluation et des indicateurs de la recherche est devenue un sujet sensible, cristallisant l'attention du monde académique et des politiques. La revue Documentaliste-SI se penche sur le rôle déterminant que jouent les professionnels de l'information et documentation dans la production d'indicateurs et autres outils d'évaluation. Michèle Dassa (CNRS-INSHS) a coordonné ce dossier qui propose un état des réflexions actuelles sur la production et les usages des indicateurs de la recherche dans les organismes publics et privés. Des articles de fond de spécialistes de la question présentent les politiques d'évaluation, les institutions concernées, les outils disponibles (bibliométriques et autres). De nombreux retours d'expérience de professionnels de l'I-D illustrent ces propos, soulignant la variété et l'importance de leurs contributions à l'évaluation de la recherche."

Le sommaire détaillé et la présentation des articles peuvent être librement consultés sur le site de l'ADBS. L'accès au texte intégral des articles y est réservé pendant deux ans aux abonnés.


 
 

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LYon-Actualités: Tribune de Olivier Christin, Président de l'Université Lyon 2

 
 

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via Delicious/io2a/#io2a de io2a le 21/12/09

L'évolution de la sociologie de l'éducation Une demande de reconnaissance des différences autant que de redistribution une crise d'une toute autre ampleur, qui n'est en rien propre à la France Toutes les universités ne sont pas égales les gisements d'emplois futurs se trouvent dans le secteur tertiaire et les services

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L'évolution de la sociologie de l'éducation Une demande de reconnaissance des différences autant que de redistribution une crise d'une toute autre ampleur, qui n'est en rien propre à la France Toutes les universités ne sont pas égales les gisements d'emplois futurs se trouvent dans le secteur tertiaire et les services

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lundi 21 décembre 2009

Universités : fusion et confusion à Aix-Marseille et Paris-12

 
 

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via {sciences²} de sylvestre Huet le 21/12/09

Nouveaux épisodes plus ou moins chaotiques de la vie universitaire: fusion en vue et contestée à Aix-Marseille, budget non voté à Paris-12, mastérisation retoquée par le CNESER...

 
 

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Universités : fusion et confusion à Aix-Marseille et Paris-12

 
 

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Nouveaux épisodes plus ou moins chaotiques de la vie universitaire: fusion en vue et contestée à Aix-Marseille, budget non voté à Paris-12, mastérisation retoquée par le CNESER...

 
 

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Les pathologies du H-index

 
 

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via Gaïa Universitas de Rachel le 21/12/09

En 2005, Jorge Hirsh a proposé un indice bibliométrique qui connaît un grand succès. Il s'agit d'un subtil mélange entre productivité et impact des travaux de recherche (voir ici pour plus de détails). Cet indice, appelé le « H-index » (ou facteur h, ou encore indice de Hirsh), se résume à un seul chiffre et est [...]

 
 

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Les pathologies du H-index

 
 

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En 2005, Jorge Hirsh a proposé un indice bibliométrique qui connaît un grand succès. Il s'agit d'un subtil mélange entre productivité et impact des travaux de recherche (voir ici pour plus de détails). Cet indice, appelé le « H-index » (ou facteur h, ou encore indice de Hirsh), se résume à un seul chiffre et est [...]

 
 

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Harmonic publication and citation counting: sharing authorship credit equita...

 
 

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via Scientometrics le 15/12/09

Abstract  Bibliometric counting methods need to be validated against perceived notions of authorship credit allocation, and standardized by rejecting methods with poor fit or questionable ethical implications. Harmonic counting meets these concerns by exhibiting a robust fit to previously published empirical data from medicine, psychology and chemistry, and by complying with three basic ethical criteria for the equitable sharing of authorship credit. Harmonic counting can also incorporate additional byline information about equal contribution, or the elevated status of a corresponding last author. By contrast, several previously proposed counting schemes from the bibliometric literature including arithmetic, geometric and fractional counting, do not fit the empirical data as well and do not consistently meet the ethical criteria. In conclusion, harmonic counting would seem to provide unrivalled accuracy, fairness and flexibility to the long overdue task of standardizing bibliometric allocation of publication and citation credit.

  • Content Type Journal Article
  • DOI 10.1007/s11192-009-0129-4
  • Authors
    • Nils T. Hagen, Bodø University College Faculty of Biosciences and Aquaculture Bodø Norway

 
 

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Abstract  Bibliometric counting methods need to be validated against perceived notions of authorship credit allocation, and standardized by rejecting methods with poor fit or questionable ethical implications. Harmonic counting meets these concerns by exhibiting a robust fit to previously published empirical data from medicine, psychology and chemistry, and by complying with three basic ethical criteria for the equitable sharing of authorship credit. Harmonic counting can also incorporate additional byline information about equal contribution, or the elevated status of a corresponding last author. By contrast, several previously proposed counting schemes from the bibliometric literature including arithmetic, geometric and fractional counting, do not fit the empirical data as well and do not consistently meet the ethical criteria. In conclusion, harmonic counting would seem to provide unrivalled accuracy, fairness and flexibility to the long overdue task of standardizing bibliometric allocation of publication and citation credit.

  • Content Type Journal Article
  • DOI 10.1007/s11192-009-0129-4
  • Authors
    • Nils T. Hagen, Bodø University College Faculty of Biosciences and Aquaculture Bodø Norway

 
 

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Le H-index de S. H. Snyder

 
 

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via Gaïa Universitas de Rachel le 20/12/09

Aujourd'hui je vous emmène dans la galerie des monstres ! On va examiner le H-index de Solomon Snyder, chercheur en neuroscience à Baltimore. On pourra trouver quelques éléments bibliographiques ici. D'après le Web of Science de Thomson Reuters, ce chercheur a publié environ 950 articles et est cité 150.000 fois. Son H-index est égal à 202 ! [...]

 
 

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Le H-index de S. H. Snyder

 
 

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dimanche 20 décembre 2009

Evaluation de la recherche et rôle des BU

 
 

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via pintiniblog de Fabrizio Tinti le 20/12/09


A Comparative Review of Research Assessment Regimes in Five Countries and the Role of Libraries in the Research Assessment Process

(source: Key Perspectives Ltd, for OCLC Research, déc. 2009)

Ce rapport tente de mettre en lumière les relations entre bibliothèques (de recherche) et mécanismes d'évaluation de la recherche dans cinq pays: Australie, Danemark, Pays-Bas, Irlande, Royaume-Uni.

Le rapport passe en revue, pour chaque pays, les thèmes suivants:

  • Rôle de l'évaluation de la recherche
  • Forme de l'évaluation de la recherche
  • Evaluation interne
  • Liens avec les financements
  • Effet de l'évaluation de la recherche sur la valeur académique
  • Rôle des bibliothèques de recherche (c'est moi qui souligne):
    The key premise for this study was that librarians have the skills and experience that enable them to make valuable contributions to their institutions, helping to facilitate institutional responses to the requirements of national and internal research assessment systems. The extent to which they have contributed varies markedly by country, reflecting not only the nature of the prevailing research assessment regime but also the resources available within the library at the point in time where research administrators were beginning to work on their research assessment strategies. In Australia, for example, thanks to funding from the Australian government, most institutions had a tried and tested institutional repository in place at a time when they were gearing up for the Research Quality Framework initiative. Thus libraries were well positioned to strike up collaborative relationships with colleagues in the research office. The particular nature of the current assessment initiative, which has involved a qualitative review and ranking of journals, provided further opportunities for Australian librarians to contribute based on their knowledge of the publishing system and bibliometrics. Once libraries have become embedded in an institution's assessment system, not only does their operational role appear to grow but librarians begin to play a greater role in the planning process, all of which reinforces the central position of the library within an institution.
    Whereas the Australian experience demonstrates how institutional repositories can be leveraged to play a greater role in facilitating the research assessment process, the situation in other countries is less positive. In the UK, libraries that possessed a useful institutional repository at the time institutions were preparing for the latest Research Assessment Exercise submission found their skills and infrastructure in demand by the research office, reflecting the Australian experience. Those libraries that could not offer technological solutions, however, have found themselves to be more peripheral to the assessment process—in the beginning at least. When research administrators discovered that they needed people with experience in information gathering and metadata expertise, often the library was called in, sometimes quite late in the process. Despite this slow beginning, libraries in the UK are engaged with the assessment process. Indeed, the plan to include bibliometrics in the forthcoming Research Excellence Framework initiative has provided a new opportunity for librarians to come to the fore, exploiting their long experience in this field.
    If institutional repositories, metadata and bibliometric expertise are key to playing a central role in institutions' responses to national research assessment systems, then a number of libraries in Ireland are well positioned to play their role if a national system of assessment was to be instituted in that country. Some librarieslead in integrating research information systems with well-founded institutional repositories and are well advanced in terms of their plans to integrate bibliometric data with their existing information systems. These information assets and this infrastructure already play an important part in internal research assessments and supporting researchers' grant applications to competitive funding sources. In the Netherlands, however, libraries' role in research assessment is constrained by the nature of the system – which is run by faculties and which typically gather the evidence they need for assessment purposes themselves. Many Dutch research libraries do, however, take responsibility for running the national research information and publications system, METIS, and this may offer the opportunity to become more closely involved with the assessment process in due course. are taking the
    In Denmark libraries have a history of collecting information for research assessment and librarians were involved in developing the information technology solution which underpins the new national research assessment initiative. Because the Danish assessment system has a major bibliometric component, librarians are building on their experience to offer various levels of bibliometric analysis to the research community, while at the same time investment in subject and institutional repositories continues.
  • Agenda pour demain
  • Bonnes pratiques en matière de support à l'évaluation de la recherche


 
 

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Evaluation de la recherche et rôle des BU

 
 

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via pintiniblog de Fabrizio Tinti le 20/12/09


A Comparative Review of Research Assessment Regimes in Five Countries and the Role of Libraries in the Research Assessment Process

(source: Key Perspectives Ltd, for OCLC Research, déc. 2009)

Ce rapport tente de mettre en lumière les relations entre bibliothèques (de recherche) et mécanismes d'évaluation de la recherche dans cinq pays: Australie, Danemark, Pays-Bas, Irlande, Royaume-Uni.

Le rapport passe en revue, pour chaque pays, les thèmes suivants:

  • Rôle de l'évaluation de la recherche
  • Forme de l'évaluation de la recherche
  • Evaluation interne
  • Liens avec les financements
  • Effet de l'évaluation de la recherche sur la valeur académique
  • Rôle des bibliothèques de recherche (c'est moi qui souligne):
    The key premise for this study was that librarians have the skills and experience that enable them to make valuable contributions to their institutions, helping to facilitate institutional responses to the requirements of national and internal research assessment systems. The extent to which they have contributed varies markedly by country, reflecting not only the nature of the prevailing research assessment regime but also the resources available within the library at the point in time where research administrators were beginning to work on their research assessment strategies. In Australia, for example, thanks to funding from the Australian government, most institutions had a tried and tested institutional repository in place at a time when they were gearing up for the Research Quality Framework initiative. Thus libraries were well positioned to strike up collaborative relationships with colleagues in the research office. The particular nature of the current assessment initiative, which has involved a qualitative review and ranking of journals, provided further opportunities for Australian librarians to contribute based on their knowledge of the publishing system and bibliometrics. Once libraries have become embedded in an institution's assessment system, not only does their operational role appear to grow but librarians begin to play a greater role in the planning process, all of which reinforces the central position of the library within an institution.
    Whereas the Australian experience demonstrates how institutional repositories can be leveraged to play a greater role in facilitating the research assessment process, the situation in other countries is less positive. In the UK, libraries that possessed a useful institutional repository at the time institutions were preparing for the latest Research Assessment Exercise submission found their skills and infrastructure in demand by the research office, reflecting the Australian experience. Those libraries that could not offer technological solutions, however, have found themselves to be more peripheral to the assessment process—in the beginning at least. When research administrators discovered that they needed people with experience in information gathering and metadata expertise, often the library was called in, sometimes quite late in the process. Despite this slow beginning, libraries in the UK are engaged with the assessment process. Indeed, the plan to include bibliometrics in the forthcoming Research Excellence Framework initiative has provided a new opportunity for librarians to come to the fore, exploiting their long experience in this field.
    If institutional repositories, metadata and bibliometric expertise are key to playing a central role in institutions' responses to national research assessment systems, then a number of libraries in Ireland are well positioned to play their role if a national system of assessment was to be instituted in that country. Some librarieslead in integrating research information systems with well-founded institutional repositories and are well advanced in terms of their plans to integrate bibliometric data with their existing information systems. These information assets and this infrastructure already play an important part in internal research assessments and supporting researchers' grant applications to competitive funding sources. In the Netherlands, however, libraries' role in research assessment is constrained by the nature of the system – which is run by faculties and which typically gather the evidence they need for assessment purposes themselves. Many Dutch research libraries do, however, take responsibility for running the national research information and publications system, METIS, and this may offer the opportunity to become more closely involved with the assessment process in due course. are taking the
    In Denmark libraries have a history of collecting information for research assessment and librarians were involved in developing the information technology solution which underpins the new national research assessment initiative. Because the Danish assessment system has a major bibliometric component, librarians are building on their experience to offer various levels of bibliometric analysis to the research community, while at the same time investment in subject and institutional repositories continues.
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